sâmbătă, 14 noiembrie 2020

Nicolai Berdiaev


Nicolas Berdiaev ou Berdjaev ou Berdiaeff (en russe : Николай Александрович Бердяев, Nikolaï Aleksandrovitch Berdiaev), né le 6 mars 1874 ( 18 mars 1874 dans le calendrier grégorien) à Kiev (Empire russe), et décédé le 24 mars 1948 à Clamart (France), est un philosophe chrétien russe de langues russe et française.


Nicolas Berdiaeff [Berdiaev], 1874-1948
philosophe chrétien russe de langues russe et française.

Biographie

Nicolas Berdiaev est un philosophe russe réfugié en France qui a marqué la pensée orthodoxe par son affirmation de principat de la liberté, premier don de Dieu à l'être humain. Cette pensée iconoclaste lui valu d'être expulsé de son pays en 1922 et parfois mal compris dans le monde orthodoxe.

Nicolas Berdiaev est né dans une famille aristocratique ukrainienne en 1874. Il professe des idées marxistes et révolutionnaires et ne voit tout d'abord pas la révolution de 1917 d'un mauvais oeil. À cette époque, il est professeur à l'université de Moscou et y fonde en 1919 l'Académie libre de culture spirituelle que le pouvoir ferme brutalement en 1922, avant d'expulser Berdiaev qui se réfugie dans un premier temps à Berlin puis en France. Il s'installe à Clamart où vit déjà un groupe d'émigrés russes et y fonde une académie de philosophie et de religion. Il part du postulat que Dieu a créé l'homme libre et que cette liberté peut devenir un mal si l'homme laisse se reproduire les rapports d'esclavage et de domination dont est issue l'histoire de l'humanité. Il envisage l'être humain en tant que personne et non individu appartenant à un tout, société, église, coupable selon lui d'aliénation spirituelle, et cette pensée influencera Emmanuel Mounier et sa philosophie personnaliste et l'un des penseurs sud-américains de la théologie de la libération. Elle sera moins bien reçue dans les milieux ecclésiastiques orthodoxes. Il dénonce avec vigueur dans les années 30 le messianisme de la race élue et de la classe élue. Il a beaucoup écrit : études sur Dostoeivski, sur le communisme russe, explicité sa pensée dans Der l'esclavage et de la liberté de l'homme- par exemple et laissé un Essai d'autobiographie spirituelle. A sa mort en 1958, sa maison de Clamart a été léguée au patriarcat de Moscou.

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Nikolai Berdiaev

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Devine preocupat de filosofia religiei. În 1907 se mută la Moscova, unde înființează o „Societate filozofico-religioasă”, citește opera lui Vladimir Soloviov și călătorește. În 1916 fondează revista Puti (Calea). Devine profesor de filosofie și istorie la Universitatea din Moscova, dar la scurt timp este arestat și anchetat de serviciile de securitate sovietice. În septembrie 1922 Berdiaev este exilat de regimul bolșevic, din motive ideologice, împreună cu încă 25 de intelectuali. Se stabilește pentru doi ani la Berlin, unde întemeiază o „Academie Rusă de Filosofie Religioasă”. În 1924 se mută la Clamart, lângă Paris, ține conferințe în mai multe țări, publică lucrări. Universitatea din Cambridge îi conferă titlul de „Doctor în teologie honoris causa”.

Lucrări principale

  • Sensul creației. Încercare de îndreptățire a omului, Tübingen, 1927
  • Un nou Ev Mediu, Paris, 1927
  • Marxismul și religia, Paris, 1931
  • Creștinismul și lupta de clasă, Paris, 1932
  • Spirit și libertate. Încercare de filosofie creștină, Tübingen, 1930
  • Omul și mașina, Paris, 1934
  • Creștinism și realitate socială, Paris, 1934
  • Eul și lumea obiectelor. O încercare de filosofie a singurătății și comuniunii, Paris, 1934
  • Despre menirea omului. Încercare de etică paradoxală, Paris, 1935
  • Cinci medfitații asupra existenței, Paris, 1936
  • Originea și sensul comunismului rus, Luzern, 1937
  • Despre sclavia și libertatea omului. Încercare de filosofie personalistă, Paris, 1946
  • Spiritul lui Dostoievski, Paris, 1946
  • O încercare de metafizică eshatologică. Creație și obiectivare, Paris, 1946
  • Dialectica existențială a divinului și omenescului, Paris, 1947
  • Sensul istoriei, Paris, 1948
  • Despre spiritul burghez, Paris, 1949-1950
  • Adevăr și revelație, Paris, 1954

Bibliografie
Cronologia intocmita de Andrei Pleșu în lucrarea Sensul creației, N. Berdiaev, Ed. Humanitas, 1992
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Nicolas Berdiaev ou Berdjaev ou Berdiaeff (en russe : Николай Александрович Бердяев, Nikolaï Aleksandrovitch Berdiaev), né le 6 mars 1874 (18 mars 1874 dans le calendrier grégorien) à Kiev (Empire russe), et décédé le 24 mars 1948 à Clamart (France), est un philosophe chrétien russe de langues russe et française.
Biographie
Issu d'une famille aristocratique, il devient marxiste1 convaincu en 1900, mais se détourne de ce courant dès les débuts de la Révolution conduite par Lénine. Il participe à Saint-Pétersbourg aux réunions des Mercredis d'Ivanov, auxquelles participent surtout des poètes symbolistes, ainsi que philosophes. En 1919, Il fonde l'Académie libre de Culture spirituelle et devient professeur à l'université de Moscou l'année suivante. Mais il est expulsé de Russie en 1922 comme « adversaire idéologique du communisme »2, en même temps que plusieurs centaines d'intellectuels, sur les « bateaux des philosophes », et il s'installe à Berlin (1922-1924). En 1924, il émigre en France et s'installe à Clamart, dans les environs de Paris. Il dirige la revue La Voie (1925-1940). Commence alors sa période la plus productive durant laquelle il rédige ses œuvres majeures2. Durant la Deuxième guerre mondiale, il vient en aide à de nombreux Juifs, par le biais de « L'Action orthodoxe », une association créée en 1935 dont les fondateurs s'inspirent beaucoup de Berdiaev3. Il connaît après la guerre un immense succès mondial, devient Docteur honoris causa de l'université de Cambridge en 1947, et il disparaît en 1948, en pleine activité2.

La philosophie de Berdiaev

Sa pensée est l'un des sommets de l'existentialisme chrétien. Elle reflète aussi l'influence de Jacob Boehme dont il traduisit en français le Mysterium Magnum, en le faisant précéder de deux études.

Pour Berdiaev, le premier principe n'est pas l'être mais la liberté. À partir de cette liberté, Dieu crée l'homme, être libre. La liberté étant par nature irrationnelle peut donc conduire aussi bien au bien qu'au mal. Selon lui, le mal, c'est la liberté qui se retourne contre elle-même, c'est l'asservissement de l'homme par les idoles de l'art, de la science et de la religion qui reproduisent « les rapports d'esclavage et de domination dont est issue l'histoire de l'humanité».

Berdiaev se révolte contre les conceptions rationalistes, déterministes, téléologiques qui brisent le règne de la liberté. Le problème de l'existence humaine est donc celui de sa libération. Ici, Berdiaev fonde une véritable philosophie de la personne qui influencera Emmanuel Mounier et le personnalisme, ou encore le jésuite uruguayen Juan Luis Segundo, théologien de la libération qui fit sa thèse sur lui. Les courants alternatifs actuels s'intéressent à la pensée de Berdiaev.

L'homme se définit d'abord comme une personne. La personne, catégorie éthique et spirituelle s'oppose à l'individu, catégorie sociologique et naturaliste. La personne n'est pas nature, mais liberté. Contrairement à l'individu qui est partie de l'espèce et de la société, la personne n'est pas la partie d'un tout quelconque. Elle s'oppose aux fausses totalités que forment le monde naturel, la société, l'État, la nation, l'Église, etc. Ces fausses totalités constituent les sources majeures de l'objectivation qui aliène la liberté de l'homme dans des productions qu'il finit par idolâtrer en se soumettant à leur tyrannie.

Pour se libérer de toutes les formes d'objectivations aliénantes, Berdiaev prône la redécouverte de l'acte créateur fondé sur un travail intérieur, sur la libération des forces spirituelles qui luttent et se révoltent contre les structures ossifiées, refroidies, inhumaines. Forces spirituelles qui sont une irruption dans le temps de la condition "humano-divine", " eschatologique" de l'homme.

Retournant à un messianisme christique d'essence joachimiste et écrivant à l'époque de la montée des « totalitarismes », Berdiaev a dénoncé, l'un des premiers « le messianisme de la race élue et de la classe élue », de l'État moderne.

Se dressant contre toutes les formes d'oppression sociale, politique, religieuse, dépersonnalisantes et déshumanisantes, l'œuvre de Berdiaev agit comme un vaccin contre toutes les formes d'utopies meurtrières du passé et de l'avenir. Par opposition, elle souligne les vrais besoins et la vraie destination de l'homme qui est surnaturelle liberté issue du mystère divin et fin de l'histoire dans une annonce du Royaume de Dieu que l'homme doit d'ores et déjà préparer dans l'amour et la liberté.

Dans ses grandes lignes, la pensée de Berdiaev est conforme à la tradition du messianisme russe, mais un messianisme purifié et éclairé par la critique radicale des forces qui s'y opposent, y compris à travers la critique de l'institution ecclésiastique et de l'État, qu'il dénonce comme sources majeures d'aliénation spirituelle. Il privilégie une approche mystique du christianisme s'appuyant sur les Pères grecs (Grégoire de Nysse entre autres) et les mystiques occidentaux. Malgré les critiques nombreuses qu'il adresse à l'Église orthodoxe et au christianisme en général, il reste attaché à l'Église orthodoxe de tradition russe, jusqu'à la fin de sa vie.

Son existentialisme est en fait un personnalisme communautaire, il est sévère pour toutes les formes d'organisation étatique, il veut un État humble et modeste, et valorise les liens communautaires de proximité. Avant l'heure il dénonce le monde de la machine et l'accélération du temps dans le monde moderne. Son œuvre est profondément marquée par la lecture de la Légende du Grand Inquisiteur que Dostoïevski met au centre des Frères Karamazov. Il est l'un des auteurs majeurs ayant très tôt analysé la crise de la modernité et annoncé la naissance d'une "nouvelle époque". Le retour à l'intériorité et au développement des liens communautaires sont pour lui la source qui caractérisera cette nouvelle époque qui vient mais qui n'a pas encore de nom, écrit-il dès 1924. Emmanuel Mounier avec lequel il travaille pour les premiers numéros de la revue Esprit lui a emprunté le concept de personnalisme communautaire et son opposition à "l'esprit bourgeois"[1] [archive] La pensée de Berdiaev attire les personnes en quête de réflexion sur la crise de civilisation que nous connaissons, elle attire aussi les personnes en quête intérieure, "mystique", elle déroute ceux qui s'enferment dans une quête spirituelle strictement personnelle comme ceux qui veulent faire l'économie du travail de l'homme intérieur et ne penser qu'à une réforme de la société. Tout mouvement de mutation sociale, de transfiguration de la société n'aura pour Berdiaev qu'un fondement personnaliste, une mutation profonde de l'individu et un mouvement d'accouchement de soi comme personne, comme personne divino-humaine appartenant à la communauté humaine, au cosmos et retrouvant le divin. En novembre 2018, un colloque, placé sous l'égide de la mairie de Clamart, lui a rendu hommage. Les actes du colloque donnent un tableau assez complet de l'œuvre de Berdiaev et soulignent le regain d'intérêt actuel que sa pensée suscite tant en France et en Europe, qu'en Ukraine et en Russie.

Citations
« La démocratie est indifférente au Bien et au Mal. »
« La liberté n'est pas un droit, c'est un devoir. »
« Dieu comme force, comme toute-puissance et pouvoir, je ne puis absolument l'accepter. Dieu ne possède nulle puissance. Il est moins puissant qu'un agent de police9. »
« Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu10. »
« L'idée aristocratique exige la domination réelle des meilleurs ; la démocratie, la domination formelle de tous... Tout ordre vital est hiérarchique, il a son aristocratie. Seul un amas de décombres n'est pas hiérarchisé et aucune qualité aristocratique ne s'en dégage... Se reconnaître, se vouloir, se chercher toujours plus de devoirs est une attitude aristocratique. Réclamer des droits est une attitude commune. L'aristocratie n'est pas une classe, c'est un principe spirituel. »
« La dignité de l'homme présuppose l'existence de Dieu. C'est l'essence même de toute dialectique vitale de l'humanisme. L'homme n'est une personne que s'il est un libre esprit reflétant l'Être suprême. »
« C'est avec les bêtes que je souhaite être dans la vie éternelle, surtout avec celles que j'ai aimées. »[réf. nécessaire]
« Agis de telle sorte que tu puisses affirmer en tout, partout, et à l'égard de tout et de tous, la vie éternelle. Il est vil d'oublier la disparition, ne fût-ce que d'un seul être vivant, de se réconcilier avec elle. La mort de la dernière et de la plus infime créature comporte quelque chose d'intolérable et si elle n'est pas vaincue en ce qui la concerne, alors le monde n'a aucune justification et ne peut être accueilli. »[réf. nécessaire]
« Ce qu'on appelle le "monde" est un asservissement des êtres, non seulement des hommes, mais aussi des animaux, des plantes, voire des minéraux et des étoiles. C'est ce "monde" que la personne délivrée de son état d'asservissement et de sa tendance à asservir les autres doit détruire. »
Une citation de Berdiaev en français, concernant les utopies, figure en épigraphe de l'édition originale anglaise de Brave New World (Le Meilleur des mondes) d'Aldous Huxley.

Bibliographie
Œuvres
  • Le Sens de la création. Un essai de justification de l'homme (1916), trad. Lucienne Cain, Desclée de Brouwer, 1955, 467 p.
  • Le Sens de l'Histoire. Essai d'une philosophie de la destinée humaine (Smysl istorii, 1923), trad. Samuel Jankélévitch, Aubier-Montaigne, 1948 (ne pas confondre ce traducteur avec le philosophe Vladimir Jankélévitch)
  • L'Esprit de Dostoïevski (Mirosozercanie Dostoevskago, 1923), trad. A. Nerville, Stock, 1946
  • Le Nouveau Moyen Âge. Réflexions sur les destinées de la Russie et de l'Europe (Novoe Srednevekov'e, 1924), éd. L'Âge d'Homme, 1986(ISBN 2-8251-2223-8)
  • De la dignité du christianisme et de l'indignité des chrétiens, Éditions Je sers, 1931, 47 p.
  • L'Homme et la Machine (1933), trad. I. P. et H. M., Éditions Je sers, 1933, 55 p.
  • Le Destin de l'Homme dans le monde actuel (1934), Stock
  • Solitude et Société (1934)
  • De la destination de l'homme. Essai d'éthique paradoxale (1934), Éditions Je sers, 1935, 384 p.
  • Cinq méditations sur l'existence. Solitude, société et communauté (1936), trad. Irène Vilde-Lot, Aubier-Montaigne, 1936, 209 p.
  • Esprit et Réalité (Duh i real'nost, 1937), Aubier-Montaigne, 1943
  • Les Sources et le sens du communisme russe (1936), trad. Alexis Nerville, Gallimard, Paris, 1951. Trad. Lucienne Cain, Gallimard, coll. Idées », Paris, 1963
  • Essai de métaphysique eschatologique. Acte créateur et objectivisation (Opyt eshatologiceskoj, 1946), Aubier-Montaigne, 1946, 284 p.
  • L'Idée russe. Problèmes essentiels de la pensée russe au XIXe et début du XXe siècle (1946), trad. H. Arjakovski, Mame, 1970
  • « Deux études sur Jacob Boehme » (sur L'Ungrund et la liberté, sur La doctrine de la Sophia et de l'Androgyne, dans le premier volume de Mysterium Magnum de J. Boehme, traduit par N. Berdiaev, Paris, Aubier, 2 vol, 1946.
  • De l'esclavage et de la liberté de l'homme (1946), Paris, Aubier-Montaigne, 302 p.
  • Dialectique existentielle du divin et de l'humain (1947), Paris, Janin, 247 p.
  • Essai d'autobiographie spirituelle (1949), Buchet-Chastel, 1958, 430 p.
  • Problèmes du communisme (1933) Desclée de Brower
  • Au seuil de la nouvelle époque (1947) Delachaux et Niestlé S.A.
  • De l'inégalité (14 lettres et une postface sur la philosophie sociale et la spiritualité ; ed., or., 1918), éditions de L'Âge d'Homme, Lausanne & Paris, 1976 (réédition, 2008).
  • "Un chapitre du livre La nouvelle conscience religieuse et la société, dans La Légende du Grand Inquisiteur de Dostoievski, commentée par Konstantin Léontiev, Vladimir Soloviev, Vassili Rozanov, Serge Boulgakov, Nicolas Berdiaev, Sémion Frank, traduit du russe et présenté par Luba Jurgenson, éditions de L'Âge d'Homme, Lausanne & Paris, 2004, pp 325 - 361.

Rééditions :

Études sur Berdiaev

  • Thierry Ekogha, Liberté et création chez Louis Lavelle et Nicolas Berdiaev, Lille, 2000.
  • Olivier ClémentHistoire et métahistoire dans la pensée de Nicolas Berdiaev, Paris, 1949, source : INIST-CNRS.[2] [archive]
  • Olivier ClémentBerdiaev : un philosophe russe en France, Paris, DDB, 1991.
  • Marie-Madeleine DavyNicolas Berdiaev, l'homme du huitième jour, Flammarion, 1964 (réédition Nicolas Berdiaev ou la révolution de l'esprit, Albin Michel, 1999).
  • Alexis KlimovNicolas Berdiaeff ou la révolte contre l'objectivation, Éditions Seghers, Paris, 1967.
  • Robert ClavetNicolas Berdiaeff. L'équilibre du divin et de l'humain, Montréal et Paris, Éditions Paulines et Médiaspaul, Montréal et Paris, 1990.
  • Pierre Fontanieu, « Berdiaev, un philosophe russe en France », Autres Tempsno 35,‎ p. 80-84 (lire en ligne [archive], consulté le 10 mai 2020).
  • Jean-Luc PouliquenBachelard, Berdiaeff et l'imagination, Sapienza - Rivista di Filosofia e di Teologia (Naples), Vol. 61 (2008).
  • Eugène PorretLa philosophie chrétienne en Russie Nicolas Berdiaeff, coll. Être et penser, cahiers de philosophie, éd. de la Baconnière, Neuchâtel en Suisse (1944).
  • Marko Markovic, La philosophie de l'inégalité et les idées politiques de Nicolas Berdiaev, préface du Pr. Jean Rouvier, éditions Nouvelles Editions Latines, Paris, 1978. Cet ouvrage est issu d'une thèse et a reçu le Prix de thèse de l'Université de droit, d'économie et de Sciences sociales de Paris.
  • Philippe Dautais, Michel Fromaget, Jean-Marie Gourvil, Igor Sollogoub, Nicolas Berdiaev, 1874-1948 : un philosophe russe à Clamart. Actes du colloque de Clamart, 24 et , Grenoble, Éditions Le Mercure Dauphinois, 2019. (ISBN 978-2-356-62468-0)

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